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Les Époux de quinze ans

Les Époux de quinze ans, comédie en un acte et en prose, mêlée de vaudevilles, de Joseph Ernest de Clonard, 14 mai 1812.

Théâtre des Variétés.

J. Ernest est le pseudonyme de Joseph-Ernest de Clonard.

La pièce a, avant de paraître à Paris, connu une carrière en province : à Bordeaux, sur le théâtre de la Gaieté, le 22 Mai 1807, à Lyon, sur le théâtre des Célestins, le 21 Août 1808.

Titre :

Epoux de quinze ans (les)

Genre

comédie mêlée de vaudevilles

Nombre d'actes :

1

Vers / prose ?

en prose, avec des couplets en vers

Musique :

vaudevilles

Date de création :

14 mai 1812

Théâtre :

Théâtre des Variétés

Auteur(s) des paroles :

Joseph Ernest de Clonard

Almanach des Muses 1813.

Sur la page de titre de la troisième édition de la brochure, Paris, chez Me Masson, 1812 :

Les Epoux de quinze ans, comédie En un acte et en prose, mêlée de Vaudevilles ; par J. Ernest ; Représentée, pour la première fois, à Bordeaux, sur le théâtre de la Gaieté, le 22 Mai 1807 ; à Lyon, sur le théâtre des Célestins, le 21 Août 1808; et à Paris, sur le théâtre des Variétés, le 14 Mai 1812.

Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 17e année, 1812, tome III, p. 190 :

[Compte rendu à verser dans le dossier de la rivalité entre Paris et la Province : ce qui réussit en province échoue à Paris, et inversement. Le sujet de la pièce tourne autour du mariage précoce et du divorce. Sujet qui ne peut ni amuser, ni intéresser, d’après le critique (il pourrait pourtant donner à réfléchir sur le mariage de jeunes personnes qui ne sont guère que des enfants). Pièce sifflée à Paris.]

THÉATRE DES VARIÉTÉS.

Les Epoux de 15 ans, vaudeville en un acte, joué le l3 mai.

On a marié deux enfans de 15 ans, qui, le lendemain de leur noce, se disputent pour un habit de hussard et une robe brodée, au point de se dire des injures du plus mauvais ton, et même de parler de divorce. Cela n'est ni gai, ni intéressant ; aussi les sifflets ont-ils fait justice de cette pièce. On assure qu'elle a eu du succès en province : d'après cela, je ne m'étonne plus que l'on y siffle souvent des pièces qui ont réussi à Paris.

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