soit des pièces racontant son assassinat, sa pompe funèbre et montrant son apothéose :
-
Gassier Saint-Amand, l’Ami du peuple, ou la Mort de Marat suivi de sa pompe funèbre (8 août 1793 au Théâtre des Variétés amusantes,
-
A propos de la mort de l’infortuné Marat, joué au Théâtre de la Cité en août 1793,
-
Delrieu, Apothéose de Marat et de Lepelletier, scène lyrique, jouée le 10 août, puis en Brumaire et Frimaire à Versailles et à Paris
-
Barrau de Toulouse, la Mort de Marat, « tragédie en 3 actes et en vers, suivie de son Apothéose en un acte et en vers », jouée à Toulouse en 1793 et 1794, et à Lyon en février 1794,
-
La Réception de Marat dans l’Olympe, comédie en un acte mêlé d’ariettes, au Théâtre de l’Estrapade, en février 1794,
-
Marat aux Champs- Élysées, tableau patriotique en un acte, au Théâtre national rue de la Loi (ventôse an II),
-
Ferru fils, les Catilinas modernes, ou la Mort de Marat, fait historique en trois actes, en février 1794, au Théâtre national de la rue de la Loi.
Ajouter un commentaire