Le Faux ami

Le Faux ami, comédie en un acte, en vers, de MM. Cuvelier et Martin, 20 juillet 1810.

Théâtre de la Gaieté.

D'après le Catalogue général de la BNF, Martin, ce serait Jean-Martin Barouillet.

Titre :

Faux ami (le)

Genre

comédie

Nombre d'actes :

1

Vers / prose ?

en vers

Musique :

non

Date de création :

20 juillet 1810

Théâtre :

Théâtre de la Gaîté

Auteur(s) des paroles :

Cuvelier et Martin

Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Barba, 1810 :

Le Faux ami, comédie en un acte et en vers, Par MM. Cuvelier et Martin. Représentée, pour la première fois, sur le théâtre de la Gaîté, le 20 juillet 1810.

Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 15e année, 1810, tome IV, p. 176 :

[Voilà un compte rendu dans lequel le critique s’engage assez peu : après avoir annoncé « un petit drame, agréablement versifié, mais un peu froid », il résume l’intrigue sans donner de jugement (il semble pourtant qu’il y ait des critiques possibles), et il donne le nom des auteurs.]

Le Faux Ami, comédie en un acte et en vers, jouée le 20. juillet.
Le faux ami est un petit drame, agréablement versifié, mais un peu froid. En voici le sujet:

Descendant de Tartufe, le perfide Daymard trompe Valmont, dont il se dit l'ami. Valmont est sur le point d'épouser Julie , fille du capitaine Francville, mais il a quelques erreurs à se reprocher : il a joué, il a perdu, et il a souscrit une lettre de change. Il s'engage en même temps à une intrigante, qui n'agit. que d'après les insinuations de Daymard ; celui-ci, amoureux de Julie, a le projet de perdre Valmont dans l'esprit de Francville ; il écrit une lettre dans laquelle il fait connoître la mauvaise conduite-de ce jeune homme ; il compte triompher, mais il est surpris aux genoux de Julie, et démasqué ; au moment où il va pour sortir, il est arrête par un huissier qui a une prise de corps contre lui. La pièce est de MM. Cuvelier et Martin.

Mémorial dramatique pour l'an 1811, p. 209 :

Le Faux Ami, comédie en un acte, en vers, par MM. Cuvelier et Martin.

(21 juillet.)          

Cette pièce, faible d'action, froidement écrite, n'a été jouée que trois fois. Les pièces en vers ne font pas fortune aux boulevarts, et celle-ci n'ayant rien offert de neuf, n'a été que très-faiblement accueillie.

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