Le Faux usurier, ou le Neveu reconnaissant

Le Faux usurier, ou le Neveu reconnaissant, comédie en trois actes, en prose, par T. P. Bertin, 1797.

Ne semble pas avoir été représentée.

Titre	Faux usurier (le), ou le Neveu reconnaissant
Genre	comédie
Nombre d'actes :	3
Vers / prose ?	prose
Musique :	non
Date de création :	1797
Théâtre :
Auteur(s) des paroles :	M. T. P. Bertin

Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez T. P. Bertin libraire, an 6. – 1797 :

Le Faux Usurier, ou le Neveu reconnaissant, comédie en trois actes, en prose. Imitée d’une Pièce Anglaise intitulée : School for Scandal, de Sheridan. Par T. P. Bertin.

Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 3^e année, 1797, tome V, p. 492 :

Théatres.

Le Faux Usurier ou le Neveu reconnaissant, Comédie en trois actes et en prose imitée d'une pièce anglaise intitulée l’Ecole du scandale, de Sheridan, par T. P. Bertin. Prix, 36 s. Paris, chez l'Auteur, rue de la Sonnerie, n° 1. An VI, (1797.)

Cette pièce a été traduite plusieurs fois, et le sujet a été traité par le citoyen Mercier, et joué aussi sur différens théâtres sous d'autres titres. Le citoyen Chénier en a fait le sujet d'une Comédie qu'on doit représenter bientôt.

Journal typographique et bibliographique, n° XXI (18 Ventôse, an 6, 8 mars 1798, v. st.), p. 166 :

Le Faux Usurier, ou le Neveu Reconnaissant, comédie en trois actes et en prose, iniitée de l’Anglais par T. P. Bertin, auteur de différentes traductions anglaises très-estimées, rue de la Sonnerie, n°. 1. Prix, 1 liv. 16 s.

La pièce que nous annonçons a fait le plus grand plaisir à Londres, où elle a été donnée deux saisons de suite, sans la moindre interruption. L’auteur, Brinsley Sheridan, n’ayant pas consenti à ce qu’elle fùt imprimée, elle est restée inédite jusqu’à ce jour en Angleterre ; ce n’est que sur une copie sténographiquement recueillie, qu’elle a été publiée en Amérique, puis en France, par Barrois le jeune, où l'on peut se la procurer.

Pièce ignorée de la base César, ce qui peut donner à penser qu’elle n’a pas été représentée, malgré les annonces.