A deux de Jeu; ou six Mois d’absence ; arlequinade, par M. de Rougemont, 25 janvier 1809.
Théâtre du Vaudeville.
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Titre :
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A deux de jeu, ou six mois d’absence
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Genre
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arlequinade
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Nombre d'actes :
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Vers / prose
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en prose, avec des couplets en vers
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Musique :
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vaudevilles
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Date de création :
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25 janvier 1809
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Théâtre :
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Théâtre du Vaudeville
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Auteur(s) des paroles :
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M. de Rougemont
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Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 14e année, 1809, tome I, p. 184 :
[A défaut d’originalité (« on s’attend bien » au dénouement), la pièce vaut, pour l’auteur du compte rendu, par le dialogue (« beaucoup d’esprit ») et le jeu de l’acteur principal.]
A Deux de Jeu, ou six mois d'absence. arlequinade jouée le z5 janvier.
Le conte de Lindane et Valmire, par Madame de Genlis, a donné l'idée de ce vaudeville. Isabelle a exigé d'Arlequin, pour preuve de son amour, six mois, d'absence et de constance, cinq mois et vingt-neuf jours sont passés, Arlequin a tenu parole ; mais le dernier jour, il voit Colombine fille de l'aubergiste Cassandre. Un bon dîner et la jolie mine de celle qui le sert lui tournent la tête, il se marie. Isabelle de son côté est devenue éprise de Lélio ; on s'attend bien que la scène des aveux mutuels doit être comique. L'embarras d'Arlequin se dissipe quand il voit qu'il a été prévenu. Il y. a beaucoup d'esprit dans le dialogue de cette petite pièce que le jeu de Laporte fait beaucoup valoir. L'auteur est M. de Rougemont.
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