Arlequin portier, comédie parade en un acte mêlée de vaudevilles, de Philibert et Marty, 24 brumaire an 9 [15 novembre 1800].
Théâtre des Troubadours
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Titre :
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Arlequin portier
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Genre
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comédie-parade mêlée de vaudevilles
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Nombre d'actes :
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1
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Vers / prose
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en prose, avec des couplets en vers
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Musique :
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vaudevilles
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Date de création :
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24 brumaire an 9 [15 novembre 1800]
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Théâtre :
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Théâtre des Troubadours
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Auteur(s) des paroles :
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Philibert et Marty
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Almanach des Muses 1802
Sur la page de titre de la brochure,Paris, chez Roux, an ix-1800 :
Arlequin portier, comédie-parade en un acte mêlée de vaudevilles. Par Philibert et Marty. Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre des Troubadours, le 24 brumaire an 9.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, sixième année (an viii (1800), tome IV, p. 270-271 :
[Succès attribué à « quelques jolis portraits ». Sinon, le résumé de l’intrigue permet de voir une fois de plus Arlequin supplanter Gilles auprès de Colombine, ce qui n'a sans doute surpris personne dans la salle.]
Théâtre des Troubadours.
Arlequin, portier.
Ce petit vaudeville a été joué avec succès, le 24 brumaire, grâce à quelques jolis portraits.
Arlequin, portier de M. Cassandre, aime Colombine, il a Gilles pour rival, c'est l'ordinaire ; Colombine est enfermée par hasard dans la loge d'Arlequin ; M. Cassandre arrive avec Gilles et un notaire pour signer le contrat. Gilles exige qu'Arlequin soit chassé sur le champ. Cassandre lui accorde cependant ce qu'il demandera comme dédommagement. Arlequin ne demande que ce qui est dans sa loge ; on lui signe la promesse de le lui accorder, alors Colombine en sort. Arlequin déclare qu'elle lui appartient, mais qu'il ne veut la recevoir que de son père, et il déchire le billet ; alors M. Cassandre la lui donne, et renvoie Gilles.
Les auteurs sont les CC. Philibert et Murti [sic].
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