L'Adroit valet, prologue en vaudevilles de Martial et Angélique, de Brazier, 14 mars 1811.
Paris, Théâtre des Jeux Gymniques.
Martial et Angélique est une pantomime équestre et anecdotique qui existe en deux versions, de Jean-Guillaume-Antoine Cuvelier :
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Martial et Angélique ou le Témoin irrécusable, de 1811,
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Martial et Angélique ou le Cheval accusateur, de 1815.
[Louis-Henry Lecomte, Histoire des Théâtres de Paris, les Jeux Gymniques, le Panorama dramatique, Paris, 1908, p. 34-35 rend rapidement compte de l’Adroit valet de Brazier, en annonçant les tableaux de Cuvelier, empruntés au Cirque Olympique des Franconi.]
14 mars : Martial et Angélique, ou le Cheval accusateur, tableaux anecdotiques en 3 actions, par J. G. A. Cuvelier, musique de D'Haussy, précédés de L'Adroit valet, prologue en vaudevilles, par N. Brazier
Frontin
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MM .
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Foignet.
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Léon
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Lefevre.
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Saint-Amar
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Franconi aîné.
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Martial
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Franconi jeune.
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Menault
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Gougibus.
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Hugot
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Devremont.
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Le Général
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Livaros.
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Deux inconnus
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Lespérance.
Lagoutte
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Le Bailli
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Achn.
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Roch
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Bassin.
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Sans-Souci
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Dominique.
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Le capitaine-rapporteur
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Perrin.
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Angélique
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Mmes
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Franconi jeune.
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Gertrude
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Tigée.
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L'Amour
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Petite Gougibus.
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Saint-Amar, colonel d'un régiment étranger au service de la France, est épris d'Angélique, jeune paysanne fiancée au laboureur Martial. Frontin, valet cynique, a tendu, autour de l'ingénue, divers pièges auxquels elle a pu échapper, quand, mettant son honneur à la perdre, il dresse à cet effet un plan des plus habiles.
Tel est l'argument du prologue soudé aux tableaux empruntés, comme Le Jugement suprême, au Cirque-Olympique qui les avait donnés le 10 novembre 1810 : le tout, peu goûté, tint quinze jours l'affiche.
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