L’Amour à l’anglaise, comédie vaudeville en un acte et en prose, de Jacquelin et Rougemont, 5 ventôse an 11 [24 février 1803].
Théâtre des Jeunes Élèves
Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Barba :
L’Amour à l’anglaise, comédie vaudeville, en un acte en prose ; de Mrs J.-A. Jacquelin et Rougemont. Représentée, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre des Jeunes Élèves de la rue de Thionville; le 5 ventôse an 11 de la République.
Pièce jugée « une des plus jolies bluettes qui aient été données sur ce théâtre. Il y a de l’esprit et de la gaîté dans le dialogue, et les couplets en sont presque toujours tournés avec grace. » (Courrier des spectacles n° 2183 du 9 ventôse [28 février 1803], p. 3). Cette représentation était la deuxième, donnée le 7 ventôse an 11 [26 février 1803], à la suite d'Une soirée à Madrid et avant les Deux chasseurs (comédie en un acte, mêlée d'ariettes, de Louis Anseaume, de 1764).
Une polémique a été suscitée par Cubières-Palmézeaux, qui estimait que la pièce de Jacquelin et Rougemont était un plagiat de sa propre pièce, l'Épreuve singulière,ou la Jambe de bois. On trouvera dans la page consacrée à la Double épreuve, ou la Boiteuse et la borgne les lettres échangées à cette occasion.
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