Cécile et Dorval, ou la Comédie bourgeoise, comédie en trois actes et en prose, 20 janvier 1814.
Odéon, Théâtre de l’Impératrice.
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Titre :
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Cécile et Dorval, ou la Comédie bourgeoise
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Genre
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comédie
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Nombre d'actes :
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3
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Vers / prose ?
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en prose
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Musique :
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non
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Date de création :
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20 janvier 1814
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Théâtre :
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Odéon. Théâtre de l’Impératrice
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Auteur(s) des paroles :
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L'Ambigu: ou Variétés littéraires, et politiques, Volume 44, n° CCCXCI (10 février 1814), p. 389 :
[Du compte rendu de cette pièce mal accueillie, on retient que la comédie bourgeoise (c’est-à-dire la pratique du théâtre amateur par la bourgeoisie) « est une des principales causes de la décadence des théâtres publics », et que « la pièce, et longue et languissante, a été très-mal accueillie ».
Cécile et Dorval sont en trois [actes], et n'offrent aucun intérêt. Un baron retiré à la campagne, y cache son rang, y vit en bourgeois, et devient amoureux de la bourgeoise Cécile, sous le nom de Dorval. Cécile aime la comédie bourgeoise; elle quitte la campagne pour aller exprès à Paris jouer sur un théâtre bourgeois. Dorval l'y suit et la rencontre sur ce théâtre bourgeois où il joue aussi un rôle, et se montre eu scène avec elle. C'est ainsi que dans Métromanie le poëte Damis se trouve en scène avec son oncle Baliveau, sur un théâtre bourgeois. Ce goût de la comédie bourgeoise est une des principales causes de la décadence des théâtres publics. La pièce, et longue et languissante, a été très-mal accueillie.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 19e année, 1814, tome I, p. 175 :
Cécile et Dorval, ou la Comédie bourgeoise, comédie en trois actes et en prose, jouée le 20 janvier 1814.
Cette comédie n'a point obtenu de succès. L'intrigue ressembloit à celle de la jeune Mère ou la Comédie de société, jouée il y a quelques années au théâtre du Vaudeville.
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