La Conjuration comique, tragédie burlesque en un acte, d'Hoffman, Paris, les Marchands de nouveautés, an 11-1803.
Pièce non représentée.
D'après le Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, n° de février 1853, p. 71, dans un article sur « quelques livres satiriques ou allégoriques et leurs clefs », la pièce, citée sans nom d'auteur, est présentée comme une « satire mordante contre divers acteurs. Voici la clef de quelques uns des noms anagrammatisés : Venovah, Vanhove; Feruly, Fleury; Troucadzin, Dazincourt; Solvina, Volnais. »
Dans un article intitulé « Notes pour servir à l'histoire du théâtre en Lorraine », et publié dans le recueil « Réunion des sociétés savantes des départements à la Sorbonne: 1877 - 1880 » (1892), Albert Jacquot affirme qu'« Hoffmann, en 1803, fit représenter, à Paris, sa Conjuration comique, tragédie en un acte » (p. 670). Mais on aimerait avoir une preuve de cette représentation.
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