Le Cabaleur, comédie en un acte, en vers, mêlée d'ariettes, de Lebrun-Toca, musique de Louis Jadin, 22 nivôse an 3 [11 janvier 1795]
Opéra comique national
Almanach des Muses 1796.
Intrigue pauvre et mal imaginée.
La vieille Dolmen aime et poursuit l'amant de Rosalie, qui n'a que du mépris pour elle. Ce jeune homme est auteur d'une pièce que l'on va représenter. Pour se venger, Dolmen projette de la faire tomber, et charge en conséquence Solfa, l'un de ses amans payés, de cabaler de son mieux. Malgré ses efforts, la pièce est applaudie. On veut arrêter Solfa parce qu'il a sifflé : on se contente de se moquer de lui, et de la vieille ; les amans sont unis.
Dans la base César : l'auteur est Jean-Antoine Lebrun-Tossa, la musique est de Louis-Emmanuel Jadin. La pièce n'a eu qu'une représentation, le 11 janvier 1795. André Tissier lui en attribue 2 (Les Spectacles à Paris pendant la Révolution, volume 2, p. 77).
A ne pas confondre avec la Cabale, ou l'acteur débutant. du même Lebrun-Tossa.
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