Le Congé, ou la Fête du vieux soldat, divertissement à l'occasion de la paix, de Tournay et Vial, 12 germinal an 10 [2 avril 1802].
Théâtre du Vaudeville
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Titre :
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Congé (le), ou la Fête du vieux soldat
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Genre
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divertissement mêlé de vaudevilles
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Nombre d'actes :
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1
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Vers / prose ?
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en prose avec des couplets en vers
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Musique :
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vaudevilles
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Date de création :
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12 germinal an 10 [2 avril 1802]
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Théâtre :
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Théâtre du Vaudeville
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Auteur(s) des paroles :
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Tournay et Vial
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Almanach des Muses 1803
Sur la page de titre de la brochure, Paris, chez Made Masson, an X - 1802 :
Le Congé, ou la fête du vieux soldat, ou la fête du vieux soldat, divertissement en un acte, en prose mêlé de vaudevilles, A l'occasion de la Pais. Par les CC. Tournay et Vial. Représenté pour la première fois, sur le Théâtre du Vaudeville, le 12 germinal an 10. (2 avril 1802.)
Liste des personnages, lieu de la scène et couplet d'annonce :
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PERSONNAGES.
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ACTEURS.
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GOODMAN, ancien militaire invalide anglais, aubergiste de l'hôtel d'Angleterre, à Cologne.
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Cit. Vertpré.
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BONNEVAL, père, gros marchand, voyageur.
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Cit. Lenoble.
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FRANCŒUR, jeune grenadier français, fils de Bonneval.
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Cit. Albert.
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FLORVAL, jeune français, peintre, voyageur ; caractère gai, étourdi.
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Cit. Henry.
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GEORGETTE, fille de Goodman ; caractère vif, décidé et ingénu.
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Mad. Henry Belmont.
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TUNDERTON, tambour de ville, ville, allemand, avec la livrée de ville et un large ceinturon ; carricature.
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Cit. Carpentier.
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Un chœur de jeunes filles et d'habitans de Cologne.
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La Scène est à Cologne.
COUPLET D'ANNONCE
Air: Dans ce salon où du Poussin.
Fêter un vieux marin anglais
Puis à sa fille aimable et sage,
Unir jeune soldat français.
Voilà tout le fond de l'ouvrage ;
Que sans rigueur il soit jugé
Et que la critique s'endorme,
Car ici l'auteur du congé
A peur d'un congé de réforme.
Le décor :
Le théâtre représente une place publique, à droite du spectateur une allée d'arbres, à gauche une auberge à l'enseigne de l'Hôtel d'Angleterre.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, VIIe année (an IX-1801), tome VI, p. 261 :
[Parmi la multitude des pièces nées de la Paix d’Amiens, une pièce jugée peu réussie : scènes froides, intrigue « très-peu neuve », même les couplets ne sont pas assez saillants. Pourtant, les auteurs ont été nommés. Et deux acteurs sont mis en avant (ils « ont soutenu la pièce »).]
Le Congé, ou la Fête du- vieux Soldat.
Ce Vaudeville fait pour célébrer la paix, a été joué le 12 germinal. Des scènes froides et décousues, et une intrigue très-peu neuve, ont contribué à son peu de succès.
Un jeune-grenadier est épris de la fille d’un aubergiste de la ville où il est en garnison. Il a pour rival un vieux tambour que la jeune fille n'aime pas. Son père apprend la nouvelle de la paix, arrive, achète son congé, et l’unit à sa maîtresse, On célèbre la fête de l'aubergiste, qui est- un vieux soldat, et la pièce finit. Les couplets sont encore très-peu saillans. Les auteurs ont été nommés. Ce sont les CC. TOURNAY et VIAL. Le jeu de M.me Belmont et celui de Carpentier ont soutenu la pièce.
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