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Elise-Hortense ou les Souvenirs de l'Enfance
Élise-Hortense ou les Souvenirs de l'enfance, opéra comique, paroles de M. Marsollier, musique de M. Daleyrac ; 26 septembre 1809.
Théâtre de l'Opéra-Comique.
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Titre :
Élise-Hortense ou les Souvenirs de l'enfance
Genre
comédie mêlée d’ariettes
Nombre d'actes :
1
Vers / prose ?
en prose, avec des couplets en vers
Musique :
ariettes
Date de création :
26 saptembre 1809
Théâtre :
Théâtre de l’Opéra Comique
Auteur(s) des paroles :
Marsollier
Compositeur(s) :
Daleyrac
Almanach des Muses 1810.
Elise et Hortense ont été élevées par Gercourt, leur tuteur, avec son fils Edouard. Celui-ci est absent depuis six ans. Son pere desirerait qu'il épousât l'une de ses deux pupilles ; mais le jeune homme a d'injustes préventions contre elles. Il revient ; son pere lui propose une de ces aimables sœurs ; il refuse. Son pere, pour le punir de son refus ridicule, veut le forcer à rendre justice aux amies de son enfance, et l'amener à brûler pour celles qu'il dédaigna. Les deux sœurs se ressemblent beaucoup. Gercourt fait consentir Elise à jouer tour-à-tour le rôle de sa sœur et le sien. Elle fait tourner la tête à Edouard par des charmes différents. La raison de l'une lui plâit ; les graces et la gaieté de l'autre l'enchantent. Un penchant invincible l'entraîne cependant vers Elise. Son pere lui fait craindre qu'Elise n'ait déja fait un choix. Cette confidence afflige Edouard, et le décide en faveur d'Hortense, à qui il trouve aussi beaucoup de mérite ; mais celle-ci rit de sa déclaration, et le quitte pour aller, dit-elle, à Paris. L'espoir lui est interdit près d'Elise ; il est incertain de plaire à Hortense ; et voilà l'espece de mystification que son pere voulait lui faire subir. Mais, las de le faire souffrir, il lui apprend qu'Elise et Hortense ne font qu'une, et qu'Elise l'accepte pour époux.
Quelques invraisemblances, mais des situations attachantes et un dialogue spirituel. Musique dans laquelle, à côté de quelques morceaux faibles, se trouvent des morceaux pleins d'agrément, de naturel, et de sensibilité.
Sur la page de titre de la brochure, Paris, chez M.me Masson, 1809 :
Élise-Hortense, ou les souvenirs de l'enfance, comédie en un acte, mêlée d'ariettes, Paroles de M. Marsollier, Musique de M. Dalayrac. Représentée pour la première fois sur le Théâtre Impérial de l'Opéra-Comique, par les Comédiens ordinaires de Sa Majesté l'Empereur et Roi, le 25 octobre 1809.
Mercure de France, tome trente-huitième (1809), n° CCCCXXVIII (Samedi 30 Septembre 1809), p. 304-306 :
[Bonne ou mauvaise pièce ? Le compte rendu ne répond pas d’emblée, puisque la pièce est à la fois fondée sur des invraisemblances, et sur une idée assez heureuse. L’analyse du sujet, longue et précise (longue explication de l’avant-scène, longue explication de l’intrigue, qui repose largement sur le dédoublement du personnage féminin), doit permettre au lecteur de se faire une opinion, avant le jugement du critique, qui commence par l’annonce de l’indulgence pour « la conduite de ce petit ouvrage » : un dénouement précipité, des invraisemblances (que le public a « laissé passer »), mais aussi « des scènes heureuses », un dialogue naturel, la pièce est « d'un assez bon ton de comédie ». Un reproche à l’interprète féminine, au jeu outré. La musique est aussi l’objet d’un jugement modéré : elle « est agréable sans avoir rien de très-saillant », même si on a remarqué plusieurs morceaux.]
Spectacles. — Théâtre de l'Opéra-Comique. — Elise-Hortense, ou les Souvenirs de l'enfance, opéra-comique en un acte, de M. Marsollier ; musique de M. Dalayrac.
Quoique fondée sur plusieurs suppositions qui ne sont pas toutes également vraisemblables, l'idée de ce petit ouvrage est assez heureuse. Edouard de Gercour, élevé par son père avec deux sœurs confiées à sa tutelle, avait pris beaucoup de goût pour l'une d'elles qui se nomme Elise ; mais ayant embrassé l'état militaire et quitté la maison paternelle à quinze ans, il a bientôt mis à l'écart les souvenirs de son enfance. Vivant avec des jeunes geus au moins très-frivoles, il a adopté leurs idées, et l'on sait que l'homme le plus léger est celui qui demande la femme la plus parfaite. Gercour n'exige pas moins de celle qu'il épousera que la réunion de toutes les vertus et de tous les talens agréables. Son père voudrait cependant le ramener à ses premières inclinations et lui faire épouser Elise. Mais comment y parvenir ? Elise est sensible, bienfaisante, modeste ; elle s'est fixée à la campagne pour payer sur ses économies les dettes de son père : tout cela est très-louable ; mais cette retraite absolue la fait passer dans le monde pour une sotte campagnarde sans esprit et; sans talent ; et. le brillant Edouard ne veut plus qu'on lui parle d'elle. Au défaut d'Elise, Gercour aurait pu lui proposer Hortense ; mais Hortense, mariée très-jeune, et déjà veuve d'un vieillard très-riche, a goûté à Paris tous les plaisirs, a cultivé tous les arts d'agrément ; et le public équitable lui a fait la réputation d'une coquette, d'une étourdie qui ne peut que rendre malheureux son mari et le ruiner. Dans cet embarras, Gercour pense, avec raison, que les préventions de son fils contre Elise seront les plus faciles à vaincre ; et c'est d'après cela qu'il fait son plan qu'Elise se charge d'exécuter.
Gercour conduit son fils à la campagne, et c'est là qu'on attaque à la fois son esprit et son cœur. Elise et Hortense se ressemblent beaucoup, et toute l'intrigue repose sur cette ressemblance. En effet, Edouard est persuadé que les deux sœurs possèdent séparément les vertus et les agrémens qu'il voudrait voir réunis dans son épouse ; et si Elise seule lui présente cette réunion, il est à croire qu'il ne pourra lui résister. Il y a même apparence que ces données n'auraient pas suffi à remplir un acte si Gercour, avant d'unir son fils à l'aimable Elise, n'avait résolu de lui donner une leçon. Pour remplir cette louable intention, Elise se charge d'un personnage double ; elle paraît sous son propre nom avec ses qualités solides, avec ses vertus, sa sensibilité, mais aussi avec sa simplicité, son amour pour la retraite, et tous ces goûts modestes qui ne s'accordent guère avec ceux d'Edouard ; et malgré ce désavantage elle n'en touche pas moins son cœur. Elle se montre ensuite sous le nom d'Hortense, vive, spirituelle, possédant tous les talens, mais étourdie, coquette, légère ; et sans le toucher elle le séduit. Bientôt elle reprend son nom et son véritable caractère : elle laisse apercevoir de faibles talens ; mais ces talens rappellent à Edouard les souvenirs de son enfance ; il s'attendrit, il se sent entraîner : en vain lui a-t-on dit qu'Elise est à la veille d'en épouser un autre, il tomberait à ses pieds, sans un message qu'il reçoit de la fausse Hortense, et qui contient un rendez-vous. Hortense use avec lui de la même ruse ; à côté des talens dont elle a fait preuve, elle lui montre tout à coup un caractère noble, des qualités qu'il ne soupçonnait pas, et elle le quitte au moment où elle a porté le plus grand trouble dans son âme. Sans doute il est difficile d'imaginer une situation plus cruelle que celle d'Edouard. Il a refusé Elise et Hortense, il est maintenant subjugué par toutes deux ; il ne peut se décider à choisir entre elles, et son choix fût-il fait, il n'est rien moins que sûr de réussir. M. de Gercour le laisse exhaler un moment son désespoir, puis il vient à son secours en bon père ; Elise-Hortense reparaît ; le mystère se dévoile, et les amans sont unis.
Nous n'examinerons point avec sévérité la conduite de ce petit ouvrage ; on pourrait y reprendre plus d'un défaut ; le principal est peut-être dans la manière dont le dénouement est précipité, et le public en a témoigné son mécontement après avoir laissé passer tranquillement les invraisemblances. Il y a d'ailleurs des scènes heureuses ; le dialogue est naturel et l'ouvrage en général est d'un assez bon ton de comédie. Il réussirait plus complètement si Mme Belmont, qui est chargée du principal rôle, outrait moins le ton et les manières d'une merveilleuse dans la première scène, où elle paraît sous le nom d'Hortense.
La musique est agréable sans avoir rien de très-saillant. On a remarqué l'ouverture, un trio entre Gercour, Edouard et Elise, le chœur du commencement, et l'air d'Edouard, dont l'accompagnement nous a paru original. Le duo des Souvenirs entre Elise et Edouard et la romance qui l'amène, rappellent tout le talent de M. Dalayrac; mais peut-être eût-il mieux valu que toute la scène fût parlée. Chacun sait qu'il y a des choses que tout l'art du musicien le plus habile ne peut que gâter, au lieu de les faire valoir.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 14e année, 1809, tome V, p. 130 :
[Tout est dans la première phrase : jugement négatif, pour cause d’invraisemblances et de longueurs. Reste qu’il y a malgré tout de jolis détails, et qu’on fait confiance aux auteurs pour remédier aux défauts (ce sont des auteurs expérimentés). Félicitations à madame Belmont pour son interprétation.
Elise-Hortense, ou les Souvenirs de l’Enfance, opéra comique en un acte, joué le 26 septembre.
Cette pièce n'a pas été jugée favorablement ; des invraisemblances et quelques longueurs ont nui a sa marche. On y a cependant trouvé de jolis détails ; et, comme les auteurs sont des hommes de talent qui ont déja fait leurs preuves, ils feront sans doute des coupures et quelques changemens qui procureront à l'ouvrage plus de succès ; et alors nous en reparlerons. Madame Belmont a brillé dans le double rôle d'Elise-Hortense.
L’Esprit des journaux français et étrangers, tome XI, novembre 1809, p. 259-262 :
[Encore une pièce qui a failli tomber à la première, et s’est redressée à la deuxième représentation où, mieux jouée, elle a été constamment applaudie. Le succès dépend alors de bien peu de choses. L’accueil fait au nom des auteurs d’Elise-Hortense avait montré que le public les tient en haute estime (le rappel de quelques titres suffit à dire qui ils sont). Elle repose sur le talent de l’actrice qui joue le double rôle d‘Elise et d’Hortense, double rôle dont on sait combien c’est une chose difficile : Madame Bellemont s’y est essayée après de grands noms de comédiennes, et elle a d’abord été « intimidée de la tâche qu’elle s’était imposée », d’où sa prestation manquée du premier soir, avant de jouer de façon juste ces deux personnages différents par leur caractère. Il ne lui reste qu’à mieux maîtriser la partie vocale de son travail, en ne cherchant pas à vaincre des difficultés qu’elle ne peut surmonter (façon élégante de dire qu’elle est meilleure actrice que chanteuse...). Si le critique s’attache plus à l’actrice qu’à la pièce, c’est que cette dernière manque de vrai comique mais aussi de développement : de ce sujet, ce n’est pas un acte qu’on pouvait tirer, mais trois, « pour la vraisemblance et l'intérêt de l'action ». C’est sensible dans la façon dont est traité le rôle masculin principal, celui d’Edouard. La musique est plus intéressante que le livret : « elle est simple, naturelle, facile », et une série de morceaux remarqués le montre bien. Un regret toutefois, par rapport aux Italiens, nos interprètes sont plus des acteurs que des chanteurs. Mais la musique de Daleyrac « est bien ce que le sujet indiquait au compositeur », servie par des interprètes bien dans leur(s) rôle(s), puisqu'il y a deux rôles doubles...]
Elise-Hortense, ou les Souvenirs de l'Enfance.
Défiez-vous des premières représentations, gens du inonde qui, le soir, faites de la chute ou du succès d'une pièce nouvelle le sujet d'un moment de conversation ; auteurs, qui croyez y voir l'abaissement d’un rival, ou les progrès d'un concurrent redoutable ; vous sur-tout journalistes, qui avez quelqu'envie d'être vrais, quelque sentiment de ce qu'on doit à des hommes de lettres et à des artistes estimables ; défiez-vous des premières représentations, ayez pour parvenir à être justes, le courage d'assister a la seconde ; l'intervalle qui les sépare est court, mais il suffit quelquefois pour une sorte de révolution dans les ouvrages, sur-tout dans la manière dont ils sont joués, par conséquent dans celle dont le public les accueille.
Nous serions désolés, par exemple, d'avoir parlé de la nouvelle pièce de MM. Marsollier et Dalayrac après, la première représentation : leur Elise-Hortense n'avait eu qu'un succès bien médiocre ; on avait peu goûté leur ouvrage, mais on avait vivement applaudi leur nom, ce qui est une sorte de compensation qui appartient à bien peu de monde ; ainsi le public, en paraissant peu content des Souvenirs de l'Enfance, prouvait aux deux aimables auteurs que nous avons nommés, qu'il se souvenait parfaitement de Nina, des Petits Savoyards, de la Soirée orageuse, d’Adolphe et Clara, et de tant d'autres ouvrages qui ont fait la fortune de l'Opéra-Comique moderne.
Mais à la 2me. représentation, le nouvel ouvrage dont il s'agit a été écouté avec plaisir, beaucoup mieux joué, et constamment applaudi. Ce n'est pas une conception dramatique bien neuve, ni bien forte ; ce n'est pas une composition musicale bien travaillée ; en tout, les proportions sont un peu petites, mais elles sont régulières et ne manquent point de graces et d'agrément.
La pièce est évidemment faite pour l'actrice qui y joue le principal rôle, lequel en offre deux, ce qui est son principal défaut. Le public est en général prévenu contre ces sortes d'ouvrages, qu'il regarde avec assez de raison comme des cadres où l'on place à volonté, toutes les idées, tous les traits, tous les mots qui peuvent faire allusion au talent de l'actrice, ou aux charmes de sa personne, où elle est priée-de briller successivement sous des traits différens, et où tout ce qu'elle fait lui vaut un éloge, où il est difficile de séparer sa personne du personnage, et tout cela aux dépens de la scène, du comique et de la vérité. Quelques actrices, même en possession de la plus haute faveur, ont éprouvé les effets de cette disposition des spectateurs ; et je ne sais pas si les noms de Mlle. Contat ou de Mme. Dugazon ont toujours suffi pour les en garantir. Or, Mme. Bellemont, que le public aime et encourage beaucoup, est encore loin d'avoir sur lui le degré d'ascendant qu'avaient les grands talens que nous venons de nommer.
Le double rôle d'Elise-Hortense a donc été pour elle une tentative hasardeuse, qui, d'ailleurs, prouve plus son amour pour son art qu'il ne parlerait contre sa modestie. A la première représentation, elle était visiblement intimidée de la tâche qu'elle s'était imposée ; l'actrice était sans assurance, sans aplomb, sans naturel, et la cantatrice sans fermeté et sans justesse. Il n'y avait pas trop moyen de réussir ainsi ; mais à la seconde représentation, d'autres moyens ont assuré à la pièce une autre destinée : Mme. Bellemont a été très-intéressante sous les traits d'Elise, simple, bonne, sensible, rappellant au jeune Edouard les momens heureux de leur enfance, et leurs premiers sermens de s'aimer toujours ; sous ceux d'Hortense, elle a été vive, enjouée et brillante, sans outrer aucune de ces nuances ; elle a mis sur-tout un art fort délicat à ne pas être trop séduisante sous le nom d'Hortense, afin de réussir et de plaire sous celui d'Elise : c’est l'intention de la pièce, le sens du rôle ; c'est sa difficulté, et Mme Bellemont l'a habilement surmontée, comme elle surmontera toujours tontes celles qui tiennent à l'art et a l'intelligence : quant à celles qui tiennent à l'art du chant et à la qualité de la voix, celles ci sont plus rigoureuses ; et il en est que Mme. Bellemont devrait éluder, au lieu de s'attacher a les vaincre.
On voit que nous parlons de l'actrice plus que de l'ouvrage : l'auteur a dû s'y attendre : c'est un léger sacrifice qu'il paraît disposé à consentir en faveur d'un talent qu'il fait briller. Nous croyons seulement que sa pièce, d'un ton plus agréable et plus doux que d'un comique saillant et vrai, manque un peu de développement. Les scènes sont bien indiquées, elles sont trop peu filées ; le sujet permettait trois actes, il les exigeait peut-être pour la vraisemblance et l'intérêt de l'action, pour qu'Edouard eût plus le temps d'être tantôt charmé par Elise, et tantôt séduit par Hortense, avant de reconnaître que la même personne sous ces deux noms réunit les talens, les graces et les qualités dont il croyait la réunion impossible. Alors on eût pu tirer un parti plus satisfaisant de ce rôle d'Edouard, et le mettre par son incertitude et son indécision amoureuse dans une situation comique ; mais cela était bien difficile dans un seul acte, où l'exposition, l'intrigue et le dénouement ne peuvent s'étendre au-delà d'un petit nombre de scènes. Le rôle d'Edouard manque de vérité, parce que les scènes sont trop courtes, et les situations trop brusquées ; et il manque d'intérêt, parce qu'il manque de vérité ; cela est tout simple : du reste, il y a de l'art dans la manière dont l'auteur a traité ce sujet en le renfermant dans de si étroites bornes ; c'est une sorte de difficulté vaincue avec infiniment d'adresse.
La musique porte le cachet de M. Daleyrac : elle est simple, naturelle, facile ; le premier chœur des paysans est coupé d'une manière piquante ; l'air chanté par Edouard pourrait avoir plus de caractère, les paroles n'ont pas un sens vague, et la musique l'est un peu. Le trio est d'un style très-pur, mais la nature des voix qui l'exécutent ne permet pas de le bien entendre ; les voix n'ont pas une qualité assez distincte, assez déterminée ; elles se confondent, et il ne peut y avoir ainsi d'harmonie. La qualité distincte et tranchante des voix est un des secrets des Italiens, que nos convenances théâtrales, et le besoin que nous avons d'acteurs plutôt que de chanteurs, ne nous permet pas de leur dérober : mais l'orchestre de notre opéra-comique est bien assez habile pour dissimuler ce défaut en accompagnant avec plus de douceur, de nuances et de légèreté. La romance du Souvenir est agréable, le duo qui la suit est gracieux et facile, il est du nombre de ceux que rechercheront les amateurs dans leurs exercices d'agrémens. Au total, cette musique est bien ce que le sujet indiquait au compositeur, et dans son ensemble, joué comme il le sera désormais par Mme. Belmont. Solié, Juliet, qui a aussi deux rôles, et Paul. qui est très bien dans le sien, il doit avoir des représentations suivies.
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