L'Épreuve, ou la Double étourderie, vaudeville en un acte, de Théodore [Maillard] et Edmond [Rochefort], 15 février 1811.
Théâtre des Jeux Gymniques.
La première représentation de L'Épreuve, ou la Double étourderie dans le Journal de Paris n° 48 du 15 février 1811, p. 330 précise qu'il s'agit d'un « spectacle dans le genre de Servandoni », et que la représentation est « au bénéfice de M. Camus ». On trouve dans le Journal de Paris d'autres représentations les 16, 17, 22, 27 février et 1er mars (je me suis arrêté au 5 mars).
La publication de la brochure est signalée dans le catalogue de J. N. Barba mis à la fin de la brochure de La Loi singulière ou Malheur et constance (1811). Une précision intéressante : la pièce, qui est à deux personnages (le théâtre des Jeux Gymniques ne doit pas jouer de pièces comportant plus de deux acteurs), est des « auteurs de M. Delahure ». Ce qui est peut-être à moitié exact : cette dernière est bien l'œuvre de Théodore (pour les uns Théodore Maillard, pour d'autres Théodore d'Hargeville : le pseudonyme de Théodore a été employé par de nombreux auteurs de comédie), mais associé à Claude Aimé Desprez.
Les Supercheries littéraires dévoilées, de Joseph Marie Quérard, tome 3, p. 787.
[Une information intéressante : la pièce a été publiée chez Madame Cavanagh...]
THÉODORE EDMOND, prénonyme (Théodore... et Edmond ROCHEFORT).
L'Épreuve, ou la Double Étourderie, vaudeville joué aux Jeux Gymniques. Paris, Mme Cavanagh, 1811, in-8.
Louis-Henry Lecomte, Histoire des théâtres de Paris : les Jeux gymniques, 1810-1812, le Panorama dramatique, 1821-1823 (Paris, 1908), p. 33 :
[Lecomte n'en savait pas grand chose, et nous n'en savons pas beaucoup plus (sinon qu'elle a été publiée, ce que Lecomte ignorait).]
15 février : L'Epreuve, ou la Double étourderie, vaudeville en 1 acte, par Théodore (Maillard) et Edmond (Rochefort). — Non imprimé et sans compte-rendu.
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