Favart à Bruxelles, comédie vaudeville en un acte, de Ferrière, 29 janvier 1811.
Théâtre du Vaudeville.
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Titre :
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Favart à Bruxelles
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Genre
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comédie vaudeville
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Nombre d'actes :
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1
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Vers / prose ?
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en prose, avec des couplets en vers
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Musique :
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vaudeville
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Date de création :
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29 janvier 1811
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Théâtre :
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Théâtre du Vaudeville
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Auteur(s) des paroles :
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Ferrière
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Almanach des Muses 1812.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, année 1811, tome I, p. 403-404 :
[Le compte rendu résume sobrement l’intrigue (tout de même un peu creuse) et juge rapidement la pièce : « léger ouvrage, quoique généralement foible », tout en reconnaissant son succès. Il s’agit de la première pièce de Ferrière au Théâtre du Vaudeville.]
THÉATRE DU VAUDEVILLE.
Favart à Bruxelles, vaudeville en un acte, joué le 30 janvier.
Favart, directeur du théâtre de Bruxelles, a deux affaires embarrassantes sur les bras ; d'une part, il est tourmenté pour les loyers de la salle ; et de l'autre, Mademoiselle Chantilly, avec laquelle son mariage est encore secret, est poursuivie par le comte de Rosenthal, gouverneur de Bruxelles, auquel elle a inspiré de l'amour. Les deux époux n'ont eu que le temps de s'enfuir, au moment où Favart répétoit, dans un costume d'officier, une pièce destinée au comte de Lowendal, que l'on attend. Les deux fugitifs sont accueillis, dans un hôtel écarté, par un caporal de sauve-garde ; le costume que porte Favart lui donne l'idée de se faire passer pour le comte de Lowendal, qui veut traverser la ville incognito ; mais cette ruse l'expose à de grands embarras. Il est forcé de souper avec le gouverneur amoureux de sa femme. Il reçoit ensuite une garde d'honneur, puis on le menace du conseil de guerre. Enfin le gouverneur, après l'avoir mystifié, annonce qu'il reconnoît ses torts, et consent à laisser en repos les deux époux. Ce léger ouvrage, quoique généralement foible, a réussi sans opposition. Il est le début à ce théâtre de M. FERR1ÈRE.
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