L’Orpheline, vaudeville en un acte, de Jospeh Patrat, accompagnement du citoyen Jadin le Jeune [Hyacinthe], 16 germinal an IV [4 avril 1796].
Théâtre Feydeau..
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Titre :
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Orpheline (l’)
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Genre
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vaudeville
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Nombre d'actes :
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1
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Vers / prose ?
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prose, avec couplets en vers
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Musique :
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oui
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Date de création :
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16 germinal an 4 (4 avril 1796)
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Théâtre :
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Théâtre Feydeau
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Auteur(s) des paroles :
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Joseph Patrat
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Compositeur(s) :
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Hyacinthe Jadin, dit le Jeune
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Sur la page de titre de la brochure, chez Huet, an IV :
L’Orpheline, vaudeville en un acte. Par J. Patrat, Accompagnement du citoyen Jardin le Jeune.
Jadin le Jeune est devenu Jardin sur la brochure...
L’Esprit des journaux français et étrangers, vingt-cinquième année, tome II (mars et avril 1796), p. 273 :
[Compte rendu rapide, qui équilibre le jugement porté sur le fond, « simple et agréable », mais « sans être neuf ». La pièce est présentée comme « un cadavre qui renferme des actions civiques & des traits de dévouement à la patrie ». Et c'est un couplet remarqué qui donne une idée de l'esprit de la pièce.]
[Le volume suivant de l'Esprit des journaux corrige la faute d'impression : au lieu de "cadavre", lire "cadre". C'est en effet plus clair !]
L’orpheline, pièce en un acte, en vaudevilles, du cit. Patrat.
Le fond en est simple & agréable, sans être neuf : c’est un cadavre qui renferme des actions civiques & des traits de dévouement à la patrie. Parmi ces couplets qui ont fait plaisir, on a généralement applaudi celui-ci, qui est chanté par un fermier :
J’avons des courtiers à Paris
Qui nous vendont ben nos denrées ;
Ils en faisint hausser les prix,
Suivant qu’all’ sont plus desirées :
Mais la vertu, la probité
Rien que c’te marchandis’ soit rare,
Au jardin de l’Egalité
Ce n’est pas ça qu’on accapare.
(Annonces & avis divers.)
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