Oromaze et Arimane ou le Génie noir et le génie blanc, prologue de la Reine de Persépolis, de Hapdé, musique d'Alexandre Piccini et Darondeau, 11 décembre 1810.
Théâtre des Jeux Gymniques.
Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Barba, 1810 :
Oromaze et Arimane ou le Génie noir et le génie blanc, prologue de la Reine de Persépolis, Représenté à la salle des Jeux Gymniques, le 11 décembre1810.
Le texte de la pièce est précédé de cette « note historique » :
Oromaze, divinité persanne, principe du bien, était né, suivant Zoroastre, de la plus pure lumière.
Arimane, principe du mal, après avoir combattu pendant plusieurs milliers d'années contre Oromaze, sera détruit par lui. Alors la justice et la vertu régneront seuls sur la terre, et tous les hommes jouiront de la plus parfaite félicité.
On trouvera, dans la page consacrée à la Reine de Persépolis ou la Femme et le malheur le compte rendu que Henry-Louis Lecomte donne de la pièce et de son prologue dans son Histoire des théâtres de Paris : les Jeux gymniques, 1810-1812, le Panorama dramatique, 1821-1823 (Paris, 1908), p. 29-30.
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