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La Nièce de ma Tante Aurore ou la manie des romans

La Nièce de ma Tante Aurore ou la Manie des romans, comédie en un acte et en vers, de J. A. Jacquelin, 17 ventôse an 11 [8 mars 1803].

Théâtre de la rue de Thionville.

Sur la page de titre de la brochure, Paris, chez Barba, an XI (1803) :

La Nièce de ma Tante Aurore ou la Manie des romans, comédie en un acte et en vers ; Par M. J. A. Jacquelin. Représentée, pour la première fois à Paris, sur le théâtre de la rue de Thionville, le 17 ventose an 11.

Le titre de la pièce renvoie bien sûr à Ma Tante Aurore, de Longchamps, musique de Boieldieu , joué à l'Opéra-Comique depuis le 23 nivôse an 11 [13 janvier 1803].

Courrier des spectacles n° 2197 du 21 ventôse an 11 [12 mars 1803], p. 2 :

[Compte rendu rapide d’une pièce sans épaisseur : un valet pris pour un prince, simple malentendu provoqué par la manie des romans de la maîtresse et de sa servante. Mais la servante dévoile la supercherie. Exit le valet. Bluette qui a eu pourtant du succès : son auteur a été nommé !]

Théâtre des Jeunes Elèves.

La Niece de ma Tante Aurore, petite nièce en un acte et en vers, a obtenu du succès à ce théâtre.

Lafleur voulant écrire à Marton, qui a comme sa maîtresse la manie des romans, copie une lettre dans un vieux ouvrage intitulé : le prince Polexandre. La lettre tombe entre les mains de la maîtresse , qui s’imagine que Lafleur est un prince déguisé et qui veut que tout le monde le regarde comme tel. Lafleur veut profiter de sa crédulité pour lui inspirer de l’amour et pour lui enlever un riche écrin. Mais Marton instruite de ses projets les découvre, et le faux Polexandre est honteusement chassé.

L’auteur de cette bluetle est le cit. Jacquelin.

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