Sylla

Sylla, tragédie en cinq actes et en vers, précédée d'une dissertation dans laquelle on cherche à prouver par la tradition, par l'histoire, par des anecdotes particulières et par un examen du style et des caractères, que cette pièce est du grand Corneille ; publiée d'après un manuscrit du dix-septième siècle, déposé chez M. Thion de la Chaume, notaire de Paris, par M. C[ubières] Palmézeaux, an 13 [1805]. Paris, Charron libraire, passage Feydeau ; Cérioux, quai Voltaire ; Mme Masson, rue de l'Echelle ; Barba, palais du Tribunat.

Tragédie imprimée, mais non représentée.

Almanach des Muses 1806.

Pièce attribuée successivement à Mallet de Bresme, au P. Buffier et au P. Delarue. L'auteur de Zaïre la regardait comme l'ouvrage d'un écolier ; M. C. Palmézeau la trouve digne de Corneille, et prétend qu'elle est en effet de ce grand homme ; mais on sait tout l'ascendant de Voltaire sur l'esprit des incrédules.

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