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Le Testament

Le Testament, comédie en un acte et en prose, mêlée de vaudevilles, de Radet, 14 vendémiaire an 6 [5 octobre 1797].

Théâtre du Vaudeville.

Titre :

Testament (le)

Genre

comédie mêlée de vaudevilles

Nombre d'actes :

1

Vers / prose

prose avec des couplets en vers

Musique :

vaudevilles

Date de création :

14 vendémiaire an 6 [5 octobre 1797]

Théâtre :

Théâtre du Vaudeville

Auteur(s) des paroles :

M. Radet

Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Migneret et d’autres, an 6 – 1797 :

Le Testament, comédie En un acte et en prose, mêlée de vaudevilles ; Par J. B. Radet. Représentée sur le théâtre du Vaudeville le 14 vendémiaire an VI (5 octobre 1797, v. st.)

Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 3e année, 1797, tome III, p. 417 :

[On s’explique mal le traitement très méprisant de la revue envers une pièce qui a connu un succès tout à fait honorable (auteur nommé, représentations assez nombreuses, publication).]

On a donné au théâtre du Vaudeville une pièce intitulée le Testament ; elle a eu trop peu de succès pour que nous en rendions compte.

Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 3e année, 1797, tome IV, p. 425 :

THÉATRES.

Le Testament, comédie en un acte et en prose, mêlée de vaudevilles, par J. B. Radet, représentée sur le théâtre du Vaudeville le 14 vendémiaire an VI (5 octobre 1797). Paris, Migneret, an VI, 1797, in-12. Prix, 1 livre 4 sous.

Nous avons donné, dans le n°. 11 de ce journal, notre avis sur cette bleuette.

Le Censeur dramatique, n° 12 du 30 frimaire an 6 [20 décembre 1797], p. 185 :

[Une fois de plus, le rédacteur du Censeur dramatique a donné la parole à « l’Amateur du Vaudeville », personnage réel ou fictif. Celui-ci rend compte de la rentrée de l’acteur Henry, le 24 frimaire.]

« Le 24 frimaire, M. Henry reparut et rentra au Théâtre par le Testament et la Revanche Forcée. Peut-être seroit-ce le cas, au sujet de la première de ces deux Pièces, de s'étonner de la persévérance avec laquelle on s'acharne à présenter au Public un Ouvrage pour lequel il a si violemment marqué par son dégoût, et dans lequel il se trouve un personnage (celui de Benjamin Moquette) qui fait vraiment tort au bon goût, dont jusqu'ici ont fait profession les Auteurs et Directeur de ce Spectacle, pour la gloire duquel il seroit à desirer que cette production fut [sic] anéantie.

D’après la base César, la pièce de Radet a connu 42 représentations, du 5 octobre 1797 au 8 septembre 1799 (18 fois en 1797, 16 fois en 1798, 8 fois en 1799).

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