Adélaïde, ou le Comte de Comminges, drame en trois actes, en prose, de Maurin de Pompigny, créé sur le Théâtre de l’Ambigu-Comique le 1er juillet 1790.
Dictionnaire néologique des hommes et des choses, par le Cousin-Jacques, tome premier, p. 34 :
L’auteur a fait de chaque acte une pièce séparée ; et ces trois pièces réunies font une seule pièce, comme les Républiques de la Grèce, réunies toutes ensemble, ne faisaient qu’une République.
Dictionnaire universel du Théâtre en France, p. 28 :
Adélaïde ou le Comte de Comminges, drame en 3 actes et en prose, par Maurin de Pompigny, représenté sur le Théâtre de l’Ambigu-Comique le ….. 1790 (non imprimé).
Voyez sur le même sujet les Amants malheureux, ou le Comte de Comminges, de Baculard d'Arnaud, imprimée en 1764, créée à Potsdam en 1765, et reprise en 1789 à Toulouse et en 1790 à Paris.
D’après André Tissier, les Spectacles à Paris pendant la Révolution, tome 1, p.126, la pièce a connu 51 représentations, 27 en 1790, 2 en 1791, 22 en 1792. Il signale qu’elle a été reprise le 26 avril 1792.
Pas de trace d’Adélaïde, ou le Comte de Comminges dans la base César. Il faut aller voir à Adélaïde de Lussan, titre sous lequel elle a été reprise selon André Tissier et a fait une assez belle carrière au Théâtre de l'Ambigu-Comique : 22 représentations en 1790, 1 en 1791, 16 en 1792 (soit 39 représentations, contre 51 selon André Tissier).
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