Le Danseur éternel, ou la Tarentule, vaudeville-ballet, par M. Clément ***, 26 septembre 1809.
Théâtre de l’Ambigu Comique.
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Titre :
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Danseur éternel (le), ou la Tarentule
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Genre
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vaudeville-ballet
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Nombre d'actes :
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1
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Vers / prose
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en prose, avec des couplets en vers
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Musique :
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vaudevilles
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Date de création :
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26 septembre 1809
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Théâtre :
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Théâtre de l’Ambigu-Comique
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Auteur(s) des paroles :
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Clément ***
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Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Barba, 1809 :
Le Danseur éternel, ou la Tarentule, vaudeville en un acte, Par M. Clément ***. Représenté, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de l’Ambigu-Comique, le Mardi 26 Septembre 1809.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 14e année, 1809, tome V, p. 138 :
[Le compte rendu inscrit la pièce dans la lignée du Parleur éternel, puis du Chanteur éternel. Ce n'est oas gage d'originalité. Comme de juste, à l'obligation de danser, il faut bien sûr ajouter une sorte d'intrigue sentimentale, dont le héros est pour une fois la victime. Un acteur/danseur « très plaisant ». Et un auteur dont on ne sait pas grand chose.]
Le Danseur éternel, ou la Tarentule, vaudeville-ballet en un acte, joué le 26 septembre.
Le Parleur éternel, joué au théâtre Louvois, a donné l'idée du Chanteur éternel qu'on joue depuis deux ans aux Variétés. Voici maintenant le Danseur éternel. C'est un jeune paysan napolitain à qui on fait accroire qu'il a été piqué par une tarentule, et qui a toujours eu la plus grande peur de cette piqûre dangereuse. Son rival, travesti en médecin, l'assure qu'il ne périra pas, s'il passe la journée à danser sans prononcer un seul mot. En effet, le nigaud danse et se tait, au point de fatiguer et de dégoûter sa prétendue belle-mère qui, le croyant fou, donne la main de la jeune personne au rival aimé.
M. Millot a été très-plaisant dans le rôle du Danseur étemel. La pièce est de M. Clément.
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