Matapan, ou les Assassinats de l'amour, tragédie en un acte, en vers; de Joseph Aude et Charles-Louis Tissot, 1793.
Dans les Rousséliana; ou, Recueil de tous les bons mots, vers, calembourgs, lazzis et facéties de Cadet Roussel, d’Armand Henri Ragueneau de la Chainaye (Paris, an 13 – 1805), la pièce est présentée comme une « tragédie tirée de Cadet Roussel ». Elle constitue le second acte de Cadet Roussel ou le Café des aveugles. Elle est évidemment parodique : les acteurs de la tragédie sont aux prises avec le souffleur et avec les membres de la famille Roussel.
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