Nicaise, opéra-comique en un acte (vaudevilles), de Vadé, arrangé par Armand Gouffé, avec un choix d'airs nouveaux, 9 messidor an 4 [27 juin 1796].
Théâtre de la Cité-Variétés.
Le personnage de Nicaise est « un des meilleurs exemples de l'innocence ridicule chez les personnages masculins ». Voir l'article de Mark Darlow, « la simplicité masculine dans l'opéra-comique français », dans le mâle en France 1715-1830, Représentations de la masculinité, édité par Katherine Astbury et Marie Emmanuelle Plagnol-Diéval (French Studies, Peter Lang, 2004), p. 82-86.
L'opéra comique de Vadé avait déjà été repris par Léger en 1792. Le Journal de Paris du 9 messidor an 4 [27 juin 1796] signale la représentation du 9 messidor, sans dire que c'est une première ni donner de nom d'auteur.
Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Barba, 1796, an 4e de la République :
Nicaise, opéra-comique, en un acte, de Vadé. Arrangé avec des airs nouveaux, Par le Citoyen Armand-Gouffé, Représenté à Paris, pour la première fois, sur le Théâtre de la Cité-Variétés, le 9 Messidor, an 4e. de la République.
Dans la page consacrée à la version de Léger en 1792, on trouvera une tentative de clarification des différentes versions de la pièce de Vadé dans les années 1790.
Ajouter un commentaire