L’Orange de Malte, comédie en cinq actes de Fabre d'Églantine, perdue.
Cette pièce, que Fabre d'Églantine aurait écrite à la fin de sa vie, et qu’il aurait considérée comme la meilleure de ses œuvres, n’a jamais été retrouvée, mais elle a connu une riche postérité :
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l’Espoir de la faveur, comédie en trois actes et en vers, d’Etienne et Nanteuil (Théâtre Louvois, 16 germinal an 13 [6 avril 1805]),
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Thomas Muller, ou les Effets de la faveur, vaudeville en trois actes, de Dieulafoy, Chazet et Gersin (Théâtre du Vaudeville, 16 germinal an 13 [6 avril 1805]),
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la Corbeille d’oranges, ou le Page de Schoenbrunn, de Merle et Brazier (Théâtre des Variétés, 3 juin 1812),
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et la Fille d’Honneur, comédie en cinq actes et en vers, d'Alexandre Duval (Théâtre Français, 30 décembre 1818).
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