La Sœur de miséricorde ou le Spectre vivant, scènes en trois parties, à grand spectacle, de Jean-Pierre Bernard (Bernard-Léon), musique de Foignet fils, 5 ou 6 juin 1811.
Théâtre Montansier.
La pièce était précèdée d'un « prologue explicatif en vaudevilles », les Petits caquets, d'Henri Simon et Philipert Rozet.
Le Journal de Paris signale une série de représentations, la huitième ayant lieu le 17 juin, la neuvième le 18. La première est annoncée deux fois, les 5 et 6 juin. Il annonce des représentations jusqu'au 14 juillet 1811 (sauf omission).
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