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Six heures moins un quart, ou la Tragédie à la Porte
Six heures moins un quart, ou la Tragédie à la Porte, parodie de Ninus II, par MM. Rougemont, Brazier, et un anonyme, 18 décembre 1813.
Théâtre du Vaudeville.
Un des comptes rendus ajoute un auteur resté anonyme.
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Titre :
Six heures moins un quart, ou la Tragédie à la Porte
Genre
parodie de Ninus II
Nombre d'actes :
Vers / prose
en prose, avec des couplets en vers
Musique :
vaudevilles
Date de création :
18 décembre 1813
Théâtre :
Théâtre du Vaudeville
Auteur(s) des paroles :
Rougemont, Brazier et un anonyme
Journal de Paris, n° 333 du 19 décembre 1813, p. 1-3 :
[Avant de parler de la parodie du jour, il faut d’abord justifier a légitimité de la parodie, qu’il est injuste de réduire à « une bouffonnerie misérable » : il peut y avoir « une vraie, une bonne parodie exempte de personnalités et de bouffonneries obscènes ». Et les auteurs de tragédies devraient y voir la reconnaissance de l’intérêt de la pièce parodiée : les parodistes ont besoin d’« une tragédie qui réussit », ce qui est le cas de Ninus II. La pièce commence par une sorte de parade, à l’image de ce qui s’est passé devant le Théâtre du Vaudeville: la scène imite la cohue de spectateurs qui veulent voir la tragédie, et la parodie commence. Les noms ont été modifiés comme il convient, et on assiste à une version burlesque de ce qui se passe dans la tragédie, transposée dans une histoire de médecin à Bagnolet. La pièce est bien, pour le critique, une parade. Elle « fourmille de quolibets, de calembours, et de certaines plaisanteries grivoises » bien proches du graveleux », mais elle offre aussi » des traits piquans, des couplets spirituels et des saillies qui forcent le rire ». A part quelques spectateurs que le critique estime dans un mauvais jour, le public a ri et a applaudi. Et les auteurs ont été nommés.]
THEATRE du VAUDEVILLE.
Première représentation de Six Heures moins un quart, ou la Tragédie à la porte, parade en vaudevilles à l’occasion de Ninus II.
Les auteurs tragiques se sont plaints souvent de la parodie ; Voltaire et Lamotte sont ceux qui ont paru le plus sensibles à ses coups, aussi n’ont-ils rien négligé l’un et l’autre pour faire regarder la parodie comme une bouffonnerie misérable qui ne peut plaire qu’à la populace. Ils auraient raison si la parodie n’était jamais qu’un travestissement burlesque d'un ouvrage sérieux, la substitution d’une action triviale à une action héroïque, et l’application d’un langage bas et populaire à des idées nobles et relevées, ou d’un style emphatique à des choses communes. Mais une vraie, une bonne parodie exempte de personnalités et de bouffonneries obscènes, peut plaire aux esprits les plus polis et les plus sensés. C’est une critique saine , assaisonnée du sel de la plaisanterie.
Les auteurs de tragédies se seraient peut-être montrés moins susceptibles, s’ils avaient réfléchi que la première règle de la parodie, car ce genre a les siennes comme tous les autres, est de ne choisir qu’un ouvrage célèbre et estimé. Ah! que de poètes, que d’ouvrages n’ont dû qu’à l’oubli de cette régie l’honneur d’être parodiés !
Une tragédie qui réussit est une aussi bonne fortune pour les parodistes que pour l’auteur lui-même. On peut les comparer à ces corsaires qui croisent dans le voisinage d’un port d’où ils savent qu’un bâtiment richement chargé doit mettre à la voile. Ils l’attendent, le guettent et en font leur proie. Il y a cependant cette différence entre le parodiste et le corsaire : c’est que celui-ci se jette d’abord sur tout ce qu’il y a de meilleur dans le navire dont il s’est emparé, tandis que l’autre, au contraire, fait son profit de tout ce qu’il y a de mauvais dans la tragédie qu’il aborde.
Sous ce dernier rapport Ninus II était une prise assez bonne. Aussi a-t-elle été mise au pillage par deux auteurs qui ne sont pas parvenus à épuiser le butin.
Le titre bizarre de Six heures moins un quart avait contribué à attirer la foule, et à Six heures moins un quart il y avait une longue queue au théâtre du Vaudeville ; on se pressait, on se poussait, on se querellait ; j'ai vu l’instant où l’on allait se battre pour justifier le second titre de la Tragédie à la porte. Enfin la moitié des curieux est entrée, et la parade a commencé.
La scène se passe devant la porte du théâtre Français. On voit une multitude de gens empressés à se procurer des billets pour Ninus, dont on va donner la première représentation. On a imité tant bien que mal la cohue qui assiège les bureaux, et les scènes auxquelles donne lieu l’envie de passer avant son tour ; mais cette espèce de prologue ne tient nullement à l’action, qui n’est qu’une imitation burlesque de la tragédie. Voici la manière dont les noms ont été transformés.
Ninus s’appelle Asinus, médecin de Bagnolet ; son confident Rhamnisse est l’apothicaire Réglisse ; la reine Elzire se nomme Soupir ; Zorame son fils, Zozo ; le satrape Zorbas est devenu Carabas , et le mage Ostras a pris le nom de Fatras.
Asinus, amoureux de sa belle-sœur Soupir, a employé le ministère du pharmacien Réglisse pour expédier son pauvre frère Tamis (Tamyre) en lui faisant avaler une médecine. Le remords le poursuit ; il a toujours cette fatale médecine sur le cœur, ce qui lui donne des vapeurs noires. Soupir, accusée de s'être débarrassée de Tamis, parce qu’il ne lui passait rien, a été soustraite à tous les regards par Carabas, qui l’a fait cacher dans une maison de la rue du Puits-qui-Parle. « Se peut-il, dit-elle, qu’on m’accuse de détruire le genre humain, moi qui faisais tout le contraire ? » Depuis dix ans elle n’a vu qu’une seule fois son fils Zozo dont Asinus a pris soin, et qu’il élève pour en faire un médecin. Le petit bonhomme, vêtu en docteur, parle déjà comme une tête à perruque, et, pour exercer sa lancette, n’attend qu’une bonne veine.
Enhardi par le bruit de la mort d’Asinus, qui est mort, dit-on, en allant voir un malade à Chaillot, Carabas présente Soupir à Fatras ; mais soudain Asinus reparaît, trouve Soupir avec Zozo et la reconnaît.... Elle l’accable de reproches, auxquels il ne répond que par une proposition de mariage. « J’ai commis un crime, lui dit-il galamment ; je dois m’en punir : permettez que je vous épouse. »
Poursuivie par les créanciers de Tamis, Soupir va être arrêtée ; Asinus paie généreusement les dettes du défunt, et la veuve reconnaissante lui pardonne et l’épouse.
On voit que les auteurs ont bien fait de donner à leur pièce le titre de parade ; elle le mérite sous plusieurs rapports, et surtout sous celui du style qui fourmille de quolibets, de calembours, et de certaines plaisanteries grivoises qui touchent de bien près à la gravelure ; mais on y trouve aussi quelquefois des traits piquans, des couplets spirituels et des saillies qui forcent le rire.
Quelques spectateurs, qui apparemment n’étaient pas dans leur jour de gaieté, ont traité sévèrement cette bagatelle, et n’ont point voulu se souvenir de l’observation dans le couplet d’annonce qu’on ne siffle point à la porte. Mais les rieurs et les applaudisseurs étaient en beaucoup plus grand nombre, et Arlequin-Asinus est venu, d’après leur invitation, annoncer que cette parodie-parade était de MM. de Rougemont et Brazier.
A. Martainville.
Journal des arts, des sciences, et de littérature, troisième volume (quatorzième de l’ancienne collection), n° 266 (quatrième année), 20 décembre 1813, p. 377-378 :
Avant d’en venir à la parodie du jour, le critique se lance dans une attaque contre les parodies, dont on devine d’avance ce qu’elles seront, puisqu’elles répètent sans cesse les mêmes procédés. Il affirme que le public s’en est lassé, et souhaite que les auteurs fassent de même. La nouvelle parodie ne fait pas exception : elle est pleine d’esprit et comporte de jolis couplets, mais « elle a paru froide, insignifiante, rebattue et sans gaîté », ressassant des plaisanteries qui ne font plus rire, ou cédant à la facilité de la grivoiserie, qui n’amuse pas le public. Les acteurs ne sont pas jugés de façon très positive, l’un imitant si mal Talma, une autre, la plus jeune répétant sans cesse le même message fort peu convenable. La pièce est allée à son terme, mais un seul couplte a mérité les honneurs du bis, et sinon, l’ennui.]
THÉATRE DU VAUDEVILLE.
Première représentation de Six heures moins un quart, ou la Tragédie à la porte, parodie de Ninus II, de MM. Rougemont et Brazier (18 décembre).
L'esprit des parodies est usé; le fond, les couplets, l'intrigue de ces sortes d'ouvrages sont toujours connus avant que la toile soit levée ; on s'attend chaque fois à voir des héros déguisés en bourgeois, des palais convertis en auberges, et le langage des dieux travesti dans un dialogue trivial. Aussi, depuis quelque temps, le public n'est-il pas fort avide de pareilles nouveautés. On y courait autrefois, parce que la bizarrerie des masques pouvait un moment divertir ; mais aujourd'hui que tous les genres de déguisemens dramatiques sont épuisés, on s'ennuie tout autant au Vaudeville un jour de parodie, qu'on baille à l'Opéra une nuit de bal masqué.
La sévérité actuelle du parterre est presque une amende honorable au bon goût. Puisse après une telle conversion venir celle des auteurs ! mais peut-être attendra-t-on long-temps encore. Ces messieurs sont toujours plus incorrigibles que le public : ils aiment à mourir dans l'impénitence finale, et le motif en est facile à deviner.
La parodie de Ninus justifie tout ce que je viens d'avancer, Malgré l'esprit dont elle pétille, et quelques jolis couplets, elle a paru froide, insignifiante, rebattue et sans gaîté. On n'a pas trouvé le mot pour rire dans ces plaisanteries fastidieuses que l'on répète depuis deux siècles au théâtre, contre les médecins et les académies. Le parterre du Vaudeville, quoique peu sévère, n'a pas été non plus bien édifié de quelques traits graveleux plutôt que grivois ; on a paru fatigué d'entendre Laporte contrefaire tant bien que mal Talma, auquel il ne prête ni ridicule ni talent ; enfin, les épigrammes contre la tragédie nouvelle n'ont pas été senties !..... N'y a-t-il pas là de quoi désespérer de pauvres auteurs.
Edouard, Seveste et Mlle. Desmares ont fait avec Laporte les honneurs du deuil pendant cette soirée. On avait aussi ménagé à la petite Virginie un rôle dans lequel on lui faisait débiter toutes les folies imaginables. Mais qu'y a-t-il de piquant à entendre un enfant répéter de cinq ou six manières différentes au public : Grâce à mon âge, je suis encore comme Jeanne d'Arc ;........ vienne cinq ou six ans, je serai toute autre, et vous n'en serez nullement fâchés. Il me semble qu'un pareil langage appartient plus aux coulisses qu'à la scène.
Au reste, la pièce a été entendue jusqu'à la fin. A l'exception d'un couplet pour lequel on a crié bis, on a baillé franchement et si les spectateurs avaient su d'avance le vaudeville final, nul doute qu'ils n'eussent chanté en chœur avant les dernières scènes :
Je ne vois pas de raison ;
Pour que ça finisse !
M.
L’Esprit des journaux français et étrangers, année 1813, tome XII (décembre 1813), p. 295-298 :
[La parodie est un signe de succès pour les tragédies, et celle-ci a eu le temps de s’écrire, vu le délai que la tragédie leur a offert. Trop de plaisanteries trop connues, mais aussi une bonne observation de ce qui se passe autour d’une première représentation. Les personnages sont nommés « avec plus de malice que de vérité ». Remarque qui veut aussi pour l’intrigue, résumée ensuite : elle est censée suivre celle de la tragédie. C’est l’irruption de créanciers qui précipitent le dénouement, qui est jugé peu comique. Le critique a l’impression d’une fin brusquée (« les auteurs ont l'air de s'être lassés au milieu de leur ouvrage »). Couplets jolis, redemandés à plusieurs reprises (mais pas celui à la gloire de Talma, ce que regrette le critique). Des plaisanteries « un peu crues », mais les auteurs avaient prévenu ! Des sifflets à la fin, mais aussi « de nombreux applaudissemens »).]
Six heures moins un quart, ou la Tragédie à la Porte.
Le succès d'une tragédie ne serait pas complet sans la parodie , et cet honneur seul manquait à la tragédie de Ninus II. Les auteurs du Vaudeville avaient eu tout le temps nécessaire pour préparer, disposer et mûrir leurs plaisanteries, puisque les représentations de Ninus ont été suspendues pendant plus de dix mois. Le public avait donc le droit d'être un peu difficile ; et voilà peut-être à quoi il faut attribuer quelques sifflets qui se sont fait entendre vers la fin de la pièce.
La scène se passe à la porte de la comédie française ; la pièce commence par des plaisanteries communes et cent fois rebattues sur l'académie et l'institut : on en rit par habitude ; mais on a ri de meilleur cœur au tableau assez fidèle de tout ce qui a lieu parmi la foule, avant l'ouverture des bureaux, un jour de première représentation. Les noms des personnages de la tragédie sont parodiés avec plus de malice que de vérité : Ninus est Asinus, Elzire se nomme Soupir, le roi empoisonné Tamis, au lieu de Thamire ; on a métamorphosé le scélérat Ramnis en Réglisse, Zorbas s'appelle Carabas, et Ostraz, Fatras. La même observation peut s'appliquer à l'intrigue.
Il y a dix ans que M. Asinus, médecin de Bagnolet, a donné à son frère Tamis, par l'entremise d'un certain Réglisse, une médecine qui l'a mis pour toujours à l'abri de tous les maux. Asinus a recueilli la succession de son frère, et hérité de ses pratiques ; il a pris grand soin du petit Zozo, son neveu, et lui a fait apprendre la médecine. Soupir, veuve de Tamis, s'est retirée dans un hôtel garni de la rue du Puits qui Parle. Afin de ne rencontrer personne, elle passe ses soirées à l'Odéon ou au Luxembourg. Ce jour là, il lui a pris la fantaisie d'aller aux Français, voir la première représentation de Ninus II ; elle trouve à la porte Carabas, qui lui demande ce qu'elle vient faire, et pourquoi, après avoir vécu dans la retraite pendant dix ans, elle vient tout-à-coup se montrer. Soupir avoue qu'elle ne sait ni pourquoi elle vient, ni pourquoi elle parle. A peine est-elle entrée à la comédie, qu'Asinus arrive avec Zozo, et convient, de son côté, que ses remords tardifs n'ont pas trop le sens commun. Il entre au café pour méditer les Petites-Affiches, qui lui ont de grandes obligations, car il ajoute bien des noms à l'article Décès. Soupir revient, et sans dire un mot ni de la tragédie, ni du succès de la représentation, elle voit Zozo, s'attendrit en pensant à son fils, qu'elle n'a jamais vu qu'une fois, le lendemain de sa naissance, et demande au petit docteur s'il a jamais eu une mère ? « Oui , madame, j'ai eu ce plaisir, lui dit l'enfant ». La reconnaissance a lieu ; Asinus reparaît. Pour parodier la belle scène où Ninus ordonne qu'on le laisse seul avec Elzire, il renvoie tout ce qui l'environne ; il propose à Soupir de boire une bouteille de bierre [sic] au café Minerve, et de jouer aux cartes, à condition, toutefois, qu'elle ne prendra pas la mouche. Soupir consent à tout, excepté au mariage qu'Asinus veut contracter avec elle. La conversation est interrompue par une troupe de créanciers, avec un huissier à leur tête. On notifie à Soupir qu'il faut qu'elle paie les dettes de feu son mari, ou qu'elle aille en prison. Asinus se retire à l'écart, et ne sait pas trop s'il doit payer pour elle. Après avoir long-temps hésité, il se décide pourtant à satisfaire les créanciers. Soupir oublie le passé, et épouse Asinus.
C'est avec cette troupe de créanciers que les auteurs ont cru parodier le tribunal qui juge et condamne Elzire. On a voulu égayer les spectateurs aux dépens d'Ostraz, dont le caractère réservé et prudent produit beaucoup d'effet dans la tragédie. Carabas ne dit autre chose, sinon qu'il a peur de se compromettre. Cela n'est pas très-comique.
La parodie tourne si court, que les auteurs ont l'air de s'être lassés au milieu de leur ouvrage. En général, les couplets sont jolis; on en a fait répéter plusieurs. Je suis presque fâché qu'on n'ait pas redemandé celui qui fait allusion au talent de Talma. Il y a dans cette parodie des plaisanteries un peu crues ; les auteurs s'en étaient confessés dès le couplet d'annonce :
Du goût blessant un peu les lois,
Si dans notre pièce on rencontre
Des quolibets, des mots grivois,
C'est la rue ici qu'on vous montre.
Ils terminaient en priant le public de ne pas oublier qu'on ne sifflait pas à la porte.
On n'a pas tout-à-fait eu égard à leur prière ; mais de nombreux applaudissemens les ont dédommagés de cette petite disgrâce. Les auteurs sont MM. Rougemont et Brazier.
Magasin encyclopédique, ou journal des sciences, des lettres et des arts, 18e année, 1813, tome VI, p. 420-421 :
[Une parodie assez classique : la pièce met simplement en perspective la situation (on voit d’abord les gens venir au théâtre, avant l’arrivée des personnages, empruntés à la commedia dell’arte). L’opéra parodié est suivi pas à pas, sauf pour le dénouement (les auteurs n’ont pas eu la cruauté de tuer Arlequin). La pièce est moyennement appréciée : si certains couplets ont été applaudis, d’autres ont paru scandaleusement graveleux (graveleux, c’est toujours un reproche !), la pièce manque de gaieté, et son dénouement pour uen fois est trop brusque. la première ne s’est pas très bien déroulée : les auteurs ont été nommés malgré les marques d'hostilité.]
Six Heures moins un quart, ou la Tragédie à la porte, parodie de Ninus II, jouée le 18 décembre.
On voit, au lever de la toile, le tableau de la foule qui se porte au théâtre un jour de première représentation. Aussitôt que la queue est entrée,arrivent les personnages travestis en Gilles, en Cassandre, en Arlequin qui parodient l'action de la pièce de Ninus. Les auteurs l'ont suivie pas à pas. Arlequin, au lieu de se tuer, épouse Madame Soupir dont il a élevé le fils Zozo. Quelques couplets ont été applaudis. Il y en a d'assez graveleux. La pièce manque de gaieté : le dénouement a paru trop brusque. Les auteurs ont été nommés, malgré d'assez vigoureux sifflets. Ce sont MM. Rougemont, Brazier et un Anonyme.
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