Riquet à la houpe, mélo-féérie en 2 actes, à grand spectacle et mêlée de couplets, de Simonnin, musique arrangée par Leblanc, ballet de Hullin, 28 septembre 1811.
Théâtre de la Gaîté.
Le Journal de Paris du 28 septembre annonce bien une représentation de Riquet à la houpe au Théâtre de la Gaîté, mais sans préciser que c'est la première représentation.
Sur la page de titre de la brochure, à Paris, chez Barba, 1811 :
Riquet à la houpe, Mélo-Féerie en deux Actes, à grand Spectacle, et mêlée de couplets ; Par M. Simonnin, Musique arrangée par M. Leblanc, Ballets de M. Hullin ; Représentée sur le Théâtre de la Gaîté, à Paris, le 28 Septembre 1811.
Dans l'Histoire critique des théatres de Paris, pendant 1821, les auteurs évoquent la pièce de Sewrin et Brazier, Riquet à la houpe, féerie en 1 acte créée le 28 février sur le Théâtre de la Porte Saint-Martin et rappellent deux pièces antérieures sur le même conte, Ce conte de Perrault a fourni le sujet de deux autres pièces, le mélodrame de Dubois, aux Jeunes-Artistes, en 1802 ; le vaudeville de ce même Dubois et de Simonnin, au Théâtre de la Gaîté en 1811.
Retenons que Simonnin se voit flanqué d'un coauteur pour son vaudeville, Dubois, déjà auteur d'un mélodrame (ou un opéra-pantomime-féerie en trois actes) sur le même personnage. Mais c'est, semble-t-il, la seule affirmation de cette collaboration.
Journal de Paris politique, commercial et littéraire, n° 1, 1er octobre 1811, p. 2 :
[Ce numéro est le premier numéro du journal avec ce titre et un grand format, qui succède à un format beaucoup plus réduit.]
Amelasis a eu un règne assez paisible à l'Ambigu-Comique ; son voisin Riquet, qui a la prétention de plaire malgré sa laideur et sa difformité, est venu seconder Taconnet, l'ancien auxiliaire de Nicolet.
Taconnet est le héros de maintes pièces du temps, dont un Taconnet chez Raponeau.
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